Haiti, une colonie internationale

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Haïti, une colonie internationale
La politique a été conçue pour maintenir l'équilibre sociale et pour la défense de l'intérêt du bien commun national.

Dans tous société organisée et qui métrise très bien, l'idée de la conception historique de la formation de l'Etat à travers la pensée dégagée par l'éminent Saint thomas, elle donne une place prépondérante à l'intelligencia nationale, elle s'adore les élites intellectuelles, comme les leaders politiques, religieux, les juristes, les sociologues, les hommes de l'art, les scientifiques, etc. ils sont des génies ou des étoiles nées pour faire l'honneur et la gloire nationale et pour protéger la richesse nationale.

Le gouvernement n'est autre qu'un instrument qui est là pour protéger les intérêts des riches sans détruire les âmes vivantes en parlant des pauvres.

Il n'est pas là pour encourager l'exploitation sauvage de la classe dominante à travers du capitalisme sauvage et inhumain, mais de prôner un capitalisme souple et humain.

C'est bien malheureux, le 17 octobre 1806, l'assassinat de jean jacques Dessalines a retourné la République d'Haïti dans le même état de colonie, mais une colonie de la communauté internationale qui allait confirmer après le départ du président Aristide le 29 février 2004. Une lutte fratricide pour le contrôle du pouvoir daté depuis 1806, faisant perdre à la classe riche haïtienne le sens de la définition du mot « Etat ou Nation ».

Ce qu'on ne pourrait jamais bâtir dans la division sociale, voir de construire sur l'exploitation sociale et l'égoïsme. Tout Etat est formé sous le concept nationaliste noué dans le sentiment du patriotisme.

Si les la bourgeoisie haïtienne a pu transformer Haïti en un succursale commercial étranger et de fripière, l'idée conçue a été inventé pour leur propre destruction économique dans la politique économique mondiale.

En conséquence la bourgeoisie haïtienne est devenue non compétitive à l'échelle commerciale mondiale puisqu'elle ne se produit pas sur son sol national.

Elle joue dans l'économie domestique, elle perd aussi ni le contrôle du gouvernement national, ni de la communauté internationale, au total la Nation Haïtienne dans la rue. Entre temps on veut porter cette responsabilité misérable sur les pauvres politiciens Haïtiens qui ont bien joué avec les colons modernes internationaux.

Haïti n'avait jamais un problème de leaders politique comme tout le monde aurait pu imaginer, tout le monde essaie de détourner l'attention sur le vrai problème socioéconomique pour incriminer les politiciens haïtiens qui ne sont que le bouc émissaire de la misère de la faim et du chômage.

quand l'union fait la force refait la surface nous en aurons une Nation haïtienne, grâce a l'éducation pour tout et toutes

Une bourgeoisie haïtienne qui est mentalement déséquilibrée et aujourd'hui qui est paralysé économiquement, décapitalisée et non compétitive à l'échelle internationale.

Celui qui pense à vivre sans tenir compte de ses entourages, il s'est détruit lui-même.
Comment peut-on imaginer qu'on confectionne des vêtements en Haïti et pourtant les Haïtiens ne pourraient s'habiller qu'avec les vêtements usagers?

Comment peut-on imaginer que les parlementaires haïtiens auraient du recevoir des pots de vin pour voter une loi sur le salaire minimum en ce qui concerne l'industrie de la sous-traitance en Haïti, n'est-ce pas une corruption de la loi économique via une loi qui ne permet pas à nos compatriotes de même se nourrir?

Comment pourrait-on imaginer que l'élite intellectuelle et la classe bourgeoisie haïtienne ne remarquaient qu'elles se sont toujours sacrifiées pour maintenir la tutelle internationale en Haïti, via l'incendie des biens et la tuerie régulièrement?

L'industrie touristique ne serait qu'un palliatif pour l'économie haïtienne, elle doit voir au second degré dans le développement économique national.

On ne pourrait jamais parler d'un développement économique durable en Haïti sans parler d'une force militaire nationale, d'ailleurs Haïti est un Etat militarisé naturellement et historiquement, c'est le symbole même de la Nation Haïtienne et le symbole de la Liberté pour toute l'Humanité.

L'évidence la sécurité publique est d'ordre psychologique et culturelle, elle ne peut y avoir sans l'assistance des agents nationaux.

Les élections ne sauraient jamais prétendu une solution du problème socio économie, ce n'est qu'une routine démocratique pour changer les dirigeants dans un Etat.
La solution haïtienne dépend uniquement nos propres efforts conjugués de chaque haïtien sans distinction aucune, dans l'unité puisque les codes de loi, la constitution ne seront jamais plus forts que l'union fait la force, le sentiment de l'amour du prochain, le pardon et la charité.

Ne jamais fait la politique gouvernementale le bouc émissaire de la misère haïtienne.

Le problème est d'ordre historique en pensant à la mort de Dessalines.

Haïti est un Etat avant de penser à devenir une Nation unie

Comment peut-on imaginer pour que les parlementaires haïtiens votent une loi d'urgence, il devrait y avoir des pots de vin?

Comment peut-on penser que les Haïtiens auraient allié avec des étrangers four faire de l'argent sur leur propres misères de leurs frères compatriotes?

Comment peut-on penser que les Haïtiens auraient pu détruire leur propre force armée nationale pour pouvoir compter sur l'appui de la sécurité internationale?

Cette erreur est grave mais aussi elle peut réparable dans la mesure qu'il ait une conscience nationale.

Aujourd'hui, nous n'avons pas une force de police nationale, mais une force de sécurité attachée à la sécurité nationale.

Le vol, le viol, la violence, la tuerie, l'incendie et le kidnapping sont devenus la monnaie courante haïtienne, et cela n'aurait du étonner personne, rien n'est encore fait pour changer cette situation lamentable et angoissante sociale.

Qui pourrait imaginer qu'on pourrait résoudre la faim haïtienne sans développer la production agricole haïtienne ou bien traquer le chômage sans éliminer l'importation de la fripière américaine en Haïti.
Aujourd'hui, tout haïtiens sont passé au rang des Sentaniz, fezènate fènat li kouche atè .Ayiti de nasyon de enterè diferan.

Tous les intellectuels haïtiens connaissent encore une faim de loup.
Ne faisons pas l'éducation haïtienne un transit international à l'instar de la sous-traitance américaine.

Mardi 10 août 2010 21h14
De:
"Carlos Joseph"
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À:
ben at irinnews.org, radiorfi at rfi.fr, "Carlos Joseph"

Jean wyclef êtes-vous armés pour gagner le titre d'honneur et gloire historique de 1804 de la République d'Haïti
La misère tracas, l'angoisse, l'incomplétude, l'analphabète, la faim, le chomage, nous font chercher toujours un Messie d'un rêve de la grande insatisfaction sociale au fond de l'océan sans l'intelligence.

Le criminel doit libérer pour briser l'injuste sociale.

Désormais la Justice doit cesser le bourreau de l'injustice sociale.

Il faut traiter le banditisme social d'abord par les actions socioéconomiques.

Qui pourrait prétendre gouverner un peuple sans pouvoir se nourrir, se vêtir et se loger qui sont les satisfactions minimales.

Aucun gouvernement ne pourrait résoudre chez lui sans mettre sur pied une politique agricole nationale et voir de combattre le chômage sans éliminer l'importation de la fripière étrangère.

Seule la vérité est éternelle, le mensonge ne dure qu'un seul jour pour en décrier son propre auteur, seule l'éducation pourrait sauver l'homme de la tromperie humaine.

La capacité d'analyser et faire la logique scientifique est d'or, ce serait le fruit d'une société bien instruite et bien éduquée. Les ignorants aiment entendre parler ceux qui pourraient les faire plus de mal, ils croient toujours dans le hasard, c'est de l'incomplétude socioéconomique, La misère est une source de regret inépuisable, tout le monde peut l'utiliser à son propre profit dans toute société humaine déséquilibrée.
Pouvez vous mettre cela en pratique.

Voici un début du bonheur parfait humain, la nourriture et les vêtements sans même attaquer l'éducation qui la clé de la liberté humaine, pas moins du travail.

Insécurité alimentaire, question agraire et développement « durable » en Afrique
Marc Dufumier, Pambazuka, 28 juin 2010
L'Afrique traverse une crise agraire et rurale d'une extrême gravité dont les conséquences se manifestent sous de multiples aspects: faiblesse des niveaux de vie, malnutrition, décapitalisation des exploitations, moindre production de biomasse, érosion croissante des sols, exode rural et migrations massives vers l'étranger, tensions sociales aigues, risques croissants de guerres civiles, etc. Dans cet article, Marc Dufumier prône une agriculture agro-écologiquement intensive pour répondre aux défis et potentialités des paysanneries africaines: accroître la production en faisant un usage intensif des ressources naturelles renouvelables disponibles, raisonner la mécanisation agricole au regard du chômage et de l'exode rural croissant, valoriser les pratiques et savoir faire traditionnels, sécuriser l'accès au foncier agricole et pastoral, favoriser l'association agriculture/élevage, le tout dans un cadre harmonieux et durable de commerce international.

Joseph Carlos, Ministre des Droits Humains

Joseph Carlos, August 18 2010, 11:01 AM

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