Chk How Le Nouvelliste Titled its Article: Guerilla Urbaine v Casques Bleus

< Previous | Home | Next >

Below is an article from Le Nouvelliste.

Check how it titled its article: "Guérilla urbaine à Port-au-Prince contre les Casques bleus".

Le Nouvelliste used the words like: 1) "Guerilla Urbaine" instead of "manifestants"; 2) "Contre" (means versus, mais en ce sens it means attack) instead of "intensifient leurs revendications contre la MINUSTAH" and 3; "Casques Bleus" (That MINUS - TAH is using the blue hats for faking its Pacific mission) instead of "MINUSTAH".

Let's readthis: Les manifestants intensifient leurs revendication contre la MINUSTAH.

Check this: "Guerilla Urbaine a Port-au-Prince attaque les Casques Bleus.

Check these words: "Guerilla" and "Casques Bleus".

Do you see what I am seeing?

What is exactly the mission of Casques Bleus?

Now, think on the word guerilla by itself.

"Guerilla".

Does it sound plaisant?

The Loup et l'Agneau, who do you think Le Nouvelliste wants you to believe is Le Loup?

Just think how beautiful reading is. I forgot my comma to prevent my coma.

Source: Tire du journal "Le Nouvelliste"

Haïti: Guérilla urbaine à Port-au-Prince contre les Casques bleus

Plusieurs centaines de jeunes ont pris pour cible jeudi les soldats de l'ONU dans le centre la capitale haïtienne Port-au-Prince, lançant des pierres et érigeant des barricades lors d'une manifestation suscitée par l'épidémie de choléra, a constaté l'AFP.

Une ambiance de guérilla urbaine régnait aux abords du Champ de Mars, tout près du Palais présidentiel: des coups de feu étaient entendus, sans que l'on puisse dire d'où ils provenaient, tandis que des gaz lacrymogènes rendaient l'air irrespirable.

Des pneus en feu et des bennes à ordure bloquaient plusieurs carrefours de la capitale, où les Casques bleus n'avaient jusqu'à présent jamais été pris pour cible depuis le tremblement de terre de janvier.

Les jeunes s'en sont pris à une petite dizaine de soldats de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en Haïti (Minustah) qui se trouvaient à l'arrière d'une camionnette découverte.

Un des soldats, qui avaient mis en joue les manifestants sans toutefois les freiner dans leur élan, est tombé du véhicule.

Il a été la cible de tirs de pierres avant de réussir à y remonter.

"Le choléra, c'est la Minustah qui nous a donné ça" ou "Minustah allez-vous-en", criaient en créole les manifestants rassemblés tout près d'un vaste camp de réfugiés du séisme, qui a fait plus de 250.000 morts.

"La Minustah répand des excréments dans la rue", pouvait-on lire sur une pancarte, alors que des rumeurs démenties par l'ONU accusent des Casques bleus népalais d'avoir apporté le choléra dans l'île.

Les jeunes, qui ont cherché dans un premier temps à se rendre au siège de la Mission de l'ONU, tournaient dans le centre de la capitale à la recherche de forces de l'ordre à caillasser.

L'épidémie de choléra, qui sévit depuis la mi-octobre dans le pays, le plus pauvre du continent américain, a déjà fait 1.110 morts et touché quelque 18.000 personnes.

La maladie a franchi cette semaine les frontières, avec un cas en République dominicaine et un autre en Floride (sud-est des Etats-Unis).

"On manifeste contre le pouvoir et la Minustah qui ne fait rien. La Minustah devait pacifier le pays et partout où elle est, c'est pire. La Minustah tue des Haïtiens", assure Ladiou Novembre, un professeur de l'enseignement secondaire de 38 ans.

"Les dirigeants haïtiens ont oublié la population", ajoute M. Novembre, à dix jours des élections législatives et présidentielle du 28 novembre.

"Il n'y a pas d'infrastructures, pas d'éducation, le choléra ravage le peuple et le président ne dit pas un mot".

The Dark Knight, November 18 2010, 3:15 PM

Start a NEW topic or,
Jump to previous | Next Topic >

< Previous | Home | Next >